Abbaye ou Monastère : Édifice abritant une large communauté monastique. L'église sera dite « église abbatiale ».
Abside :Partie arrondie ou polygonale située à l'arrière du chœur.
Appareil ou Opus : Ensemble de pierres assemblées de façon précise pour confectionner un mur ou un élément du mur.
Arc : Assemblage de pierres ayant la forme d'une courbe pleine ou brisée franchissant un espace avec pour seuls appuis les extrémités.
Arc-formeret : Arc formé à l'intersection de voûte et du mur porteur longitudinal fermant la travée.
Arc-boutant : Arc chargé de transmettre les poussées latérales d’une voûte à un contrefort extérieur.
Architecte : Maître de conception et/ou d'exécution d'ouvrages, dit maître d'œuvre.
Baie - Ouverture fermée ou non d'une porte ou d'une fenêtre dans un mur, une cloison.
Basilique : À l’origine, c’est un bâtiment romain servant de forum, de bourse ou de tribunal.
Cathédrale : C’est une église où se trouve le siège de l'évêque (la cathèdre).
Cénobitisme : Forme de vie monastique en communauté.
Chaînage : Éléments métalliques transversaux consolidant un mur.
Chevet : Désigne l’extrémité de l’église comprenant, le chœur, l’abside, le déambulatoire et les chapelles qui l’entourent.
Chœur : Situé entre la nef et l'abside, c'est la partie dans laquelle se trouve l'autel principal.
Clef de voûte : Claveau bloquant mis au sommet d'une voûte.
Clôture : Barrière, mur, grille délimitant un espace.
Collatéral ou Bas-côté :Les collatéraux longent le vaisseau central (ou principal) sur sa longueur.
Colonne : Élément vertical de structure porteuse, soutien de forme cylindrique.
Comble : Charpente et couverture de toit. - Espace situé sous la charpente.
Contrefort : Massif de maçonnerie chargé de contrebalancer la poussée d’une voûte.
Coupole : Voûte à volume intérieur hémisphérique ou ellipsoïdal.
Croisée d'ogives : Corresponds aux diagonales de la voûte nervée.
Croisée du transept : Partie commune au transept et au vaisseau principal de la nef.
Crypte : Élément en sous-sol d'une église.
Déambulatoire : Bas côté circulaire longeant le chœur et l'abside.
Épigraphe : Inscription de date de construction, maître d'œuvre, maître d'ouvrage, devise, sur un édifice.
Dédicace : Célébration qui marque la consécration d’une église.
Gargouille : Pierre (sculptée) en saillie de mur. Peut servir à l’évacuation des eaux de pluie.
Jubé : Clôture de pierre ou de bois séparant le chœur liturgique de la nef.
Lambris : Revêtement de mur, plafond, en panneaux de marbre, bois, stuc.
Massif occidental : Ensemble généralement constitué de deux tours, porche, travée(s) (parfois) tribune.
Monachisme : C’est l'état et le mode de vie de personnes qui ont prononcé des vœux de religion, et font partie d’un ordre dont les membres vivent sous une règle commune, séparés du monde.
Narthex : Espace intermédiaire situé avant la nef.
Nef : C'est la partie allongée de l'église qui mène de la façade jusqu'au chœur.
Ogive : Arc en nervure diagonale d'une voûte.
Pile : support vertical massif.
Pilier : Poteau maçonné et non circulaire transférant verticalement les charges reçues vers les fondations.
Pinacle : Couronnant les contreforts, il sert de stabilisateur.
Plan basilical : L’acception la plus commune de ce que l’on appelle le « plan basilical » est l’église à trois, cinq ou sept nefs sans transept. Ce plan reste le plus prestigieux jusqu’à l'apparition de l’art gothique.
Plan bénédictin : Se dit de la planification d'un monastère de bénédictins. Le plan bénédictin caractérise l'architecture religieuse en marquant la symbolique de la Croix. Il s'agit d'un plan type d'église à trois nefs et trois absides qui a été adopté comme plan fonctionnel de la liturgie par les religieux et religieuses de l'ordre de St Benoît.
Rosace : Baie de forme ronde dans un mur, avec armature (remplage) de pierre taillée.
Stéréotomie : En raison de certains aspects (géométrie descriptive), le terme est parfois improprement donné comme synonyme du Trait médiéval. C’est l'art de découper des volumes, ex : division d'un arc en plusieurs pierres.
Tour lanterne : Tour ajourée élevée au-dessus de la croisée du transept.
Trait : Ensemble des procédés graphiques utilisés au Moyen Âge pour répondre aux problèmes posés par la conception et la réalisation d’un bâtiment.
Transept : Partie croisant certaines églises pour leur donner une forme de croix. Les extrémités sont appelées bras de transept et le centre, croisant l'ensemble du bâtiment, croisée de transept.
Travée : Espace délimité par deux points d’appui, colonnes, piliers, etc.
Tribune : Galerie supérieure s'ouvrant sur l'intérieur d'un édifice.
Triforium : Galerie voûtée ouverte sur l’intérieur d'église en bas-côté de la nef.
Vaisseau : La nef d'une église peut être constituée d'un seul vaisseau ou de plusieurs (vaisseau central et collatéraux).
Voussoir : Pierre taillée composant un arc ou une voûte.
Voussure : Courbure d'une moitié d'arc ou de voûte.
Voûtain : Compartiment de remplissage d’une voûte.
Voûte : Ouvrage de couvrement intérieur maçonné.
Ces pages s'adressent à tous, mais il est préférable d'avoir des connaissances de base sur l'art gothique. Je vous invite à visionner la vidéo Du roman au Gothique réalisée par CANOPE NORMANDIE qui ne dure que 6 minutes ou de lire cet article qui résume brièvement les principes généraux de ce style.
L'Art Gothique
Toute forme incarne un système de pensée, une conception du comportement, une façon de modeler.
Susan Condé
L'architecture gothique apparaît en Île-de-France au cours du XIIe siècle. À l'origine, on nomme ce style Francigenum Opus, ce qui signifie « art français ». Rapidement, il va s'imposer à toute l'Europe, et ce, jusqu'au début de la renaissance.
L'art gothique se caractérise par un système de voûtes appelé voûte nervée ou voûte d’ogives. Comme on peut le voir sur le dessin, elle s'articule sur deux nervures diagonales, les ogives, qui forment l'ossature et supportent les minces cloisons de remplissage des panneaux, les voûtains.
L’avantage de cette armature est de permettre aux éléments de la voûte de rester indépendants et de jouer librement. Elle est ainsi capable de résister aux mouvements de structures du bâtiment.
Dans le système gothique, les forces suivent la ligne des nervures et pèsent directement à la verticale des piliers (flèches rouges), le reliquat des forces tangentielles est transmis, via les arcs-boutants, aux massifs contreforts extérieurs.
Ces arcs-boutants, dont le gothique s’est fait une signature, visent essentiellement à repousser à l'extérieur les lourds contreforts qui, jusqu’ici, condamnaient l’édifice à l’obscurité. Les murs latéraux étant également soulagés des poussées par des arcs-formerets, le vitrail peut se substituer à la pierre. Le livre de pierre se métamorphose en livre de verre.
Par cet usage conjoint de l'arc brisé, de la nervure et de l'arc-boutant, les proportions et l’éclairage peuvent être librement modulés. D’un point de vue structurel, chaque partie, chaque élément se suffit à lui-même et peut exister de façon autonome.
Toutefois, il demeure que le tracé directeur propose, et que la résistance des matériaux dispose. Les bâtisseurs étaient en possession d'un principe, d'un programme, lequel fut mis au point par touches successives. Impossible à cette époque de modéliser ou de prévoir la statique d'un monument ; il fallait expérimenter pour savoir. Pourtant, et malgré l’évolution des techniques, les voûtes n'évoluent que sur des détails d'appareils. Leurs principes s’avèrent fixés dès l'origine et seule la forme des arcs se nuance en fonction des époques.
En fait, la seule transformation structurelle majeure que l'on devra retenir, en ce qui concerne le gothique français, est la substitution du plan carré au profit du plan barlong, terme qui signifie plus long d'un côté que de l'autre. On passe donc d'un carré à un rectangle.
Une petite explication s'impose : à l'origine, les architectes gothiques s'essayent sur des bâtiments romans. Ils posent des voûtes nervées là ou les voûtes d'arêtes et les coupoles dessinaient des structures carrées. Pour ce faire, ils ont développés un système appelé voûte sexpartite. Formée par le croisement de trois ogives, cette voûte se divise en six parties, six voûtains. La figure 2 illustre ce principe. Les ogives diagonales reposent sur quatre grosses piles dites fortes (A), alors que le doubleau secondaire, l'ogive transversale utilisée pour prendre en charge le reliquat des poussées, s'appuie sur deux piles de moindre importance (B).
On remarque qu'à chaque travée du vaisseau central correspondent deux travées dans les bas-côtés. Cette disposition présente l'inconvénient de répartir inégalement les poussées entre piliers forts (A) et piliers faibles (B). Sur le terrain, cette particularité peut se traduire par une grosseur alternée des supports.
Fig. 2 - Voûte sexpartite
Fig. 3 - Voûte sur plan barlong
Fig. 2b - Voûtes de Senlis
Fig. 3b - Voûtes de Chartres
En peu de temps, les architectes prennent conscience de l'absolue flexibilité de leur système et de sa capacité à couvrir des plans complexes. Dès lors, ils s'émancipent du plan carré, et troquent la voûte sexpartite contre une structure quadripartite, appelée voûte sur plan barlong (fig. 3 & 3b).
Aboutissement de la pensée gothique, ce procédé mariant logique et esthétique diminue l'ouverture des arcs diagonaux et donc la hauteur intrinsèque des grandes voûtes. Bien évidement l'alternance piliers forts, piliers faibles, disparaît et le nombre de travées entre les nefs s’équilibre.
Dans ce que les historiens de l'art appellent « gothique de transition », il faudra donc éviter de faire l'amalgame entre les mises au point d'un concept novateur et l'amélioration d'un principe ancien, car si les procédés changent parfois dans la forme, ils restent invariables dans leurs principes. En ce sens, l'aspect révolutionnaire du gothique est incontestable.
Mais quelle est l'origine de l'idée gothique ? D'un point de vue purement architectural poser cette question revient à déterminer l'origine des éléments censés définir le style, à savoir : l'arc brisé, la voûte nervée et l'arc-boutant.
L'arc brisé se retrouve dans certains édifices clunisiens, particulièrement en Bourgogne, sans parler de l'architecture normande. Pourtant ce dessin appartient au fond commun de l’humanité, tout comme la découverte du mur ou du feu. C’est ainsi qu’en dehors du Moyen-Orient, l’Inde ou certains pays asiatiques peuvent se targuer de l’avoir utilisé.
Toutefois, aucun peuple dans l’histoire n’en soupçonnera les promesses. Il appartiendra seul au génie gothique de fusionner cet arc à la nervure donnant naissance à la voûte nervée tout en l'exprimant dans une nouvelle conception architecturale, structurelle et visuelle.
L'origine de l'arc-boutant reste, quant à elle, indiscutée. Ce système n'est rien d'autre qu'une évolution du demi-berceau utilisé dans certains édifices romans pour contrebalancer la poussée des voûtes.
Pour conclure, la mise en œuvre conjointe de ces procédés s’avère être l'expression d'une pensée rationnelle et logique, d'un esprit d'analyse dont peut, à juste titre, s’enorgueillir le pays de Descartes, car le berceau du Gothique est sans conteste L’Île-de-France.
Bien sûr, tout ceci ne se fait pas en un jour et, d’année en année, les techniques évoluent. À ce titre, il est remarquable de constater la vitesse avec laquelle les erreurs sont corrigées et les solutions diffusées dans tous les chantiers. Ce partage d'informations permet au gothique d’atteindre sa pleine maturité en quelques décennies.
Commentaires
La démonstration de Pierre Bellenguez sur la géométrie des cathédrales est absolument remarquable de simplicité et d'efficacité. Elle est très convaincante, et en plus, très élégante, ce qui est bon signe. L'architecte Viollet le Duc avait lui aussi proposé en son temps une hypothèse de géométrie sacrée en étudiant les coupes des cathédrales, mais ses résultats n'étaient pas très probants. Les points de ses figures tombaient un peu n'importe où et l'ensemble manquait de la clarté qui arrive toujours lorsqu'on a découvert le principe directeur d'un dessin. La démonstration de Pierre Bellenguez tient elle bien mieux la route. Elle est donc supérieure à celle de l'immense Viollet le Duc, ce n'est pas rien. Franchement bravo.
David Orbach (Architecte - Ingénieur structure - Enseignant à l’Université Populaire de Caen de Michel Onfray)
JE VOUS CONSEILLE SANS RÉSERVE la lecture du nouvel opus de Pierre Bellenguez, consacré au décryptage des tracés géométriques de la basilique de Vézelay. En seulement quelques dizaines de pages et d'illustrations, sans sombrer un seul instant dans les spéculations zozotériques et en s'appuyant notamment à très bon escient sur un schéma explicite du carnet de Villard de Honnecourt, l'auteur fournit au lecteur des clés immédiatement compréhensibles, limpides, de la compréhension géométrique de l'édifice.
Jean-Michel Mathonière - Directeur éditorial chez Éditions Dervy - Historien des compagnonnages
Au cathédraloscope, nous présentons les travaux de Pierre Bellenguez qui développe le concept de matrice première qui permettre aux bâtisseurs de dresser d'une manière cohérente les plans d'élévation d'une cathédrale. Il démontre dans son livre "les cathédrales retracées" la pertinence de son hypothèse.
Cathédraloscope
Dans son livre, Pierre Bellenguez, passionné d’architecture gothique, décrypte les constructions des bâtisseurs en se mettant dans la peau de ces derniers. A l’aide de différentes cathédrales gothiques françaises, il réfute des théories populaires sur ces édifices et démontre l’usage des figures géométriques dans ces bâtiments. Il s’intéresse également au symbolisme présent au cœur des cathédrales en analysant différents éléments architecturaux et historiques. Son œuvre nous a été particulièrement utile afin d’illustrer les méthodes géométriques des cathédrales gothiques [...]
Site : lescathedrales.wordpress.com
Un ouvrage extraordinaire où l’on ne fait pas de rapport entre la distance de la terre à la lune avec l’hypoténuse de la face de la pyramide en vraie grandeur, mais où les tracés sont opératifs […] car tout commence, quelle que soit l’épure […] en trait carré.
Jean-Pierre Bourcier - Spécialiste du trait
Pierre Bellenguez, déjà auteur d'un ouvrage sur les cathédrales, propose, avec ce livret, de découvrir l'univers de la basilique de Vézelay autrement, en essayant de comprendre comment celle-ci a été bâtie, quels symboles géométriques renferme-t-elle, en étudiant le portail et les symboles représentés. Un volume richement illustré (photos, plans, coupes, élévations) à lire d'urgence !
Olivier Petit - Médiéviste
Le Livre du Jour est : Les cathédrales retracées Les nombres régissent nos grands édifices. Pour bien le comprendre, il faut sortir ses outils de géomètre et chercher les proportions. Un travail méthodique et plein de bon sens dans les nefs, croisées et transepts, dans les absides et les chevets, et bien sûr dans les élévations. Une promenade qui nous conduit à Amiens, Vézelay, Beauvais, Chartres Bourges et Reims … Un bonheur d’ouvrage que nous devons à Pierre Bellenguez
Jean-François Lecompte - écrivain
Je recommande... Le superbe ouvrage Les cathédrales retracées pour tous les passionnés d'architecture gothique. Dans son livre, l'auteur Pierre Bellenguez nous dévoile le message caché derrière les plans des grandes cathédrales gothiques. À consommer sans modération !
Luciano Xavier - Maquettiste en cathédrales gothiques
Dans ce livre, je m'attendait à entendre beaucoup parler de géométrie sacrée, de traditions et de société secrète et bien pas du tout... Pour mon plus grand bonheur et mon plus grand plaisir, c'est un livre précis, sourcé, technique, néanmoins facile d'accès, qui permet à un néophyte d'aborder le sujet sans difficultés. L'auteur est très pédagogue, ça se lit tout seul. [...] Clairement, ce livre va véritablement m'aider pour mon travail sur les mystères des cathédrales. [...] Encore une fois je remercie chaleureusement Pierre Bellenguez pour son livre les cathédrales retracées.
Arcana Les Mystères du Monde - Youtubeur (Chaine Arcana)
Avis de lecteur (Priceminister) Beau et instructif. Ouvrage superbe avec d'abondantes illustrations en noir ou couleurs. Avec une simplicité communicative, l'auteur décrypte la science des bâtisseurs. Il réécrit avec clarté et à l'aide d'abondantes études personnelles les techniques qui ont permis cette révolution dans l'architecture. Loin d'être un remake de littératures courantes, c'est un beau livre à offrir ou à se faire offrir.
troph38
Le Mot du Jour est : « Encore Vézelay »? Un livret abondamment illustré sur la géométrie particulière de Vézelay vient d’être édité par Pierre Bellenguez. Ayant eu le privilège de le lire avant l’impression je vous le recommande, car compas en mains c’est de la belle ouvrage ! Les illustrations sont superbes et pédagogiques, alors, comme en plus c’est pas cher (15€), que ça s’achète en ligne et que ça tiendra dans le sac de plage, offrez-le-vous au plus vite !
Jean-François Lecompte - écrivain
J'ai lu votre livre d'une traite et vais bientôt le relire plus lentement. Merci et bravo, vous avez répondu à tellement de mes questions.
John Brown
Formidable ouvrage technique touffu mais très intéressant pour qui s’intéresse à cette magnifique architecture et à l’art des bâtisseurs... Merci Monsieur
Armand Priest (ESTP) - Commentaire Facebook
Pierre Bellenguez explique très bien le sens de la géométrie des cathédrales en prenant appui sur la basilique de Vézelay, dans son ouvrage [...] Les cathédrales retracées : la science des bâtisseurs
Anthony CRESTIN - La géométrie et le mythe
Passionné d'architecture, Pierre Bellenguez a repris les mesures des cathédrales et compris comment les bâtisseur ont réussi ces exploits architecturaux. Aucun nombre magique, mais du bon sens, de la simplicité et de l'expérience.
Joël Supéry - Site tuskaland.com
Regard d'un passionné d'architecture médiévale sur l'architecture secrète des cathédrales et la géométrie gothique. Un ouvrage très utile pour notre projet #STEAMBuilders (https://steambuilders.eu/fr/) qui a pour objectif de fournir aux enseignants des outils et la pédagogie nécessaires à la mise en œuvre de l'approche innovante et pluridisciplinaire des STEAM par la manipulation et la reconstruction de techniques et de patrimoine historiques !
Asso Fermat-Science
J'ai bien reçu votre admirable livre "Les cathédrales retracées" et je vous en remercie. Étant passionné par l'architecture sacrée j'ai pu l'apprécier. Encore merci. Cordialement,
M. Moldovan
"Dans le sillage du livre "Les cathédrales retracées", Pierre Bellenguez nous entraîne dans une visite initiatique de la basilique de Vézelay, à la découverte des procédés géométriques utilisés par les moines bâtisseurs. Compas en main, il nous fait découvrir l’alphabet de ce livre de pierre, la fascinante science des anciens maîtres d’œuvre". La basilique de Vézelay, un incontournable... !
Catherine Leschenne
Après son magnifique ouvrage intitulé : " Les cathédrales retracées ", je vous recommande vivement de découvrir le nouvel opus de l'excellent Bellenguez Pierre, consacré au décryptage des tracés géométriques de la basilique de Vézelay.
Dominique Gury